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dimanche 25 septembre 2011

Deux Wikileaks récentes révèlent le rôle central des États-Unis lors du coup au Honduras

L'ambassade américaine a été le plus grand « courtier en puissance» suite au coup d'état.

Deux câbles importants ont été publiés sur Wikileaks ce juin 2011. Un fait partie de la première impression que l'ambassade américaine à Tegucigalpa,  travers l'ambassadeur Hugo Llorens, a envoyé à Washington concernant l'état de plusieurs sujets au Honduras. Parmi d'autres questions Llorens rapports des réunions avec des politiciens comme le maire de Tegucigalpa Ricardo Alvarez et l'ancien président du Honduras, Ricardo Maduro. D'autre part, le jour même du coup d'État, le 28 juin, il a eu une rencontre avec trois hommes d'affaires de hauts rangs : Antonio Travel, Emilio Larach et Emin Barjum et un autre homme d'affaires les a  rejoint par vidéo-conférence de San Pedro Sula.

« Les trois ont accepté (...) que le coup était illégal, mais ont soutenu qu'il n'y avait pas d'autre choix que d'accepter le régime actuel et attendre les élections en novembre » Llorens écrit.

Ceci et toutes autres informations que nous avons lu après le coup suggère que, immédiatement après le coup d'État la plupart des putschistes ont été perçus comme le centre de négociations politiques domestiques pour l'ambassade américaine. En effet, l'ambassade américaine a agi comme le « courtier de puissance" plus grands et plus influents d'entre eux, pour utiliser la description de l'ambassade pour  les putschistes. Les États-Unis se considère celui qui devrait être satisfait, tandis que dans la sphère publique les États-Unis étaient à couteaux tirés avec les élites.

Llorens explique dans un câble que « Pratiquement toutes les élites politiques et les contacts personnels ont exprimé leur surprise et consternation à la suite de la réponse du gouvernement des États-Unis (USG), déclarant qu'ils se sentent abandonnés par l'USG »

L'autre câble analyse les acteurs individuels influents au Honduras qui aurait pu prendre part au processus de négociation des Accords de San José signés en novembre 2009 avant les élections au Honduras. Tous les acteurs ont été évalués avec des descriptions usant les couleurs comme « sang rouge » à « Snowblind blanc » comme était la norme pendant la guerre froide. Cela renforce la théorie de Mark Weisbrot que les Accords récemment signé à Carthagène sont antagonistes aux Accords de San José, car celles de San José ont été évidemment conçu sous le contrôle habituelle de Washington ainsi que celles de Carthagène ont négociée une souveraineté pour la région qui a été largement célébrée par la résistance Hondurien tout en étant critiqué par les défenseurs et organisations des droits de l'homme en raison de l'influence potentielle que les accords peuvent avoir sur la continuation des atteintes aux droits de l'homme.

La « câble couleur » est preuve que le Département d'État américain a jugé nécessaire de faire un profil de tous les acteurs potentielle afin de crée les Accords de San Jose dans lequel Oscar Arias a vraisemblablement été leur homme fort. Cela confirme la thèse détenu par de nombreux journalistes, écrivains et érudits que ces accords étaient uniquement conçu par le gouvernement américain comme un moyen de résoudre une crise qu'ils ont finit par cacher sans vergogne devant les yeux du monde. Cela a créé un milieu idéal pour l'impunité et les violations constantes des droits de l'homme, y compris la vie de 11 journalistes. Les "diseurs de vérité" putschistes aiderait à Washington a caché un des pires épisodes de la politique étrangère américaine dans l'histoire récente dans laquelle le département d'état américain à facilement jouer et manipuler les élites peu instruites et non qualifiés qui ont été les acteurs dans le coup au Honduras.

Loin de ce qu'on peut lire dans les câbles de Wikileaks, l'establishment politiques et militaires de Washington a aidé à organiser le coup d'État du Honduras et a mit son personnel et lobbyistes à   améliorer l'image du coup d'État.  Les sources d'information utilisées par l'ambassadeur ne sont pas claires, ni quel rôle la CIA ou l'ensemble du personnel de sécurité, que ce soit privé ou public, ont joué  dans le coup et comment ils interagissent avec l'ambassade.

Encore une fois, les câbles sont également adressés à l'ambassade américaine à Caracas et Southcom à Miami.

Traduit par KGK de Two recent Wikileaks reveal US central role during the Honduras Coup

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