Tegucigalpa, 9 avril (RHC).- Les enseignants du Honduras ont décidé de se retirer de la table des négociations après que le gouvernement eut annoncé la suspension pour plusieurs mois et sans salaire de plus de 300 maîtres qui ont participé aux manifestations contre la privatisation de l’enseignement .
Edwin Oliva, président du Syndicat de Perfectionnement des Enseignants du Honduras, a déclaré qu’ils ne reviendront pas à la table de négociations tant que le gouvernement ne sera pas revenu sur la décision de suspendre les professeurs de leurs postes.
Les enseignants s’opposent à la nouvelle loi de Participation Educative car les mairies seraient responsables de l’éducation et ceci conduirait à la privatisation de l’enseignement.
Le syndicat demande aussi le paiement des arriérés de salaires et l’annulation de la dette contractée par le gouvernement envers l’Institut National de Prévision de l’Enseignement, Cette loi met en danger la retraite future des enseignants.
Edwin Oliva, président du Syndicat de Perfectionnement des Enseignants du Honduras, a déclaré qu’ils ne reviendront pas à la table de négociations tant que le gouvernement ne sera pas revenu sur la décision de suspendre les professeurs de leurs postes.
Les enseignants s’opposent à la nouvelle loi de Participation Educative car les mairies seraient responsables de l’éducation et ceci conduirait à la privatisation de l’enseignement.
Le syndicat demande aussi le paiement des arriérés de salaires et l’annulation de la dette contractée par le gouvernement envers l’Institut National de Prévision de l’Enseignement, Cette loi met en danger la retraite future des enseignants.

Mardi le 12 avril 2011 / FIAN International. La banque publique pour le développement DEG (Deutsche Entwicklungsgesellschaft), basée à Cologne, informa dans un communiqué adressé au secrétariat international de FIAN avoir pris la décision de ne pas donner suite au contrat l'unissant à la Corporation Dinant au Honduras après avoir analysé en profondeur la situation du conflit agraire sévissant dans le Bas Aguán, au Honduras.
Le 23 mars 2011. En ce moment même des dizaines de policiers et militaires envahissent de nouveau l’Université Nationale Autonome du Honduras, UNAH, où des milliers d’étudiants sont en classe tandis que d’autres ont leur cérémonie de graduation.