
L’impunité et le silence officiel règnent au Honduras alors que les meurtres (plus de 200) de syndicalistes, étudiants, paysans, journalistes et membres de la résistance se multiplient. Le professeur Jose Manuel Flores, membre du Front national de résistance populaire, a été tué dans son collège, devant ses élèves et ses collègues. Les 18 dirigeants de la direction du Syndicat universitaire Sitraunah ont été arrêtés mains et pieds liés et l’université fermée. Une grande marche de protestation a eu lieu en fin de semaine dernière.
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